#30 - “Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais.”

Vous m’avez dit : « Je pensais qu’il ne mourrait jamais, tellement je l’aimais. »

Dans cet épisode, j’interroge cette croyance intime que l’amour pourrait suffire à retenir les êtres qu’on aime.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

👇 En savoir plus juste en dessous

Peut-on aimer au point de conjurer la perte ?

Et que reste-t-il quand la mort emporte l’être aimé, malgré tout ce qu’on lui a donné ?

Dans ce trentième épisode, Amélie Boukhobza explore cette illusion bouleversante : que l’intensité d’un amour pourrait suffire à tenir l’autre en vie.

Et la violence du réveil, quand la mort l’emporte malgré tout.

À partir d’une phrase poignante, elle interroge ce que l’amour contient de besoin, d’abri, d’oxygène – et ce que la perte vient faire vaciller.

Dans cet épisode, il est question :

  • du lien comme point d’ancrage psychique,

  • de la mort vécue comme trahison, surtout quand on est enfant,

  • de la colère qui surgit quand l’absence est insupportable,

  • et de ce qu’on peut faire, quand il ne reste que le manque.

Un épisode pour celles et ceux qui ont aimé si fort…

qu’ils ont cru que ça suffirait à retenir l’autre ici.

Bonne écoute!

🎙️ Un podcast écrit et présenté par Amélie Boukhobza, psychologue clinicienne et docteur en psychologie.

Crédits : Montage : Lucas Martinot / Musique : Jean Manuel Jimenez / Direction artistique : Brigitte Massiot

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#29 - “J’aimerais lui dire à ma fille : tu sais, ton père, il a une meuf, et sa priorité, c’est sa meuf. Et il s’en bat les couilles de vous ! Mais je lui dirai jamais. C’est horrible ! ”