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#24 - “ On a parlé. Je ne sais pas si j’ai été 100 % honnête dans ce que j’ai dit.  ”

Vous m’avez dit : « On a parlé. Je ne sais pas si j’ai été 100 % honnête dans ce que j’ai dit. »

Et si l’honnêteté n’était jamais totale ?

Dans cet épisode, j’interroge ces zones floues entre sincérité, vérité et réalité… et ces petits arrangements dans la parole, pour ne pas tout abîmer.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Peut-on être sincère sans tout dire ?

Et jusqu’où va l’honnêteté dans nos relations ?

Est-ce que dire “presque tout”, c’est déjà mentir ?

Et si, au fond, on jouait tous un peu avec la parole, pour protéger, préserver… ou éviter de tout casser ?

Dans ce vingt-quatrième épisode, Amélie Boukhobza explore la complexité des mots qu’on choisit — ou qu’on évite — et l’usage des artifices de la parole.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle interroge ces petits ajustements du discours qui en disent long.

Parce que parler, ce n’est pas seulement informer.

C’est faire lien. Se protéger. Protéger l’autre. Ou pas.

Et parfois, la parole devient floue. Stratège. Ambivalente.

Dans cet épisode, il est question :

  • de ce qu’on dit, mais aussi de ce qu’on tait,

  • des nuances entre mensonge, sincérité et vérité,

  • de la parole dans le couple : entre loyauté, diplomatie et pudeur,

  • de ces “petits flous” qu’on entretient parfois… pour que ça tienne.

Et si l’honnêteté absolue n’était pas le but, mais une forme d’équilibre mouvant ?

Un dosage entre dire et taire, entre transparence et protection ?

Un épisode pour celles et ceux qui parlent beaucoup, ou pas assez — et qui se demandent parfois : qu’est-ce que je cherche vraiment à dire ?

Bonne écoute!

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#23 - “ Pour tenir le coup dans la vie, il faut bien se raconter quelque chose. ”

Vous m’avez dit : « Pour tenir le coup dans la vie, il faut bien se raconter quelque chose. »

Et si on avait tous besoin d’un récit — même un peu arrangé ?

Dans cet épisode, j’interroge ces histoires qu’on se raconte pour tenir debout.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Pourquoi se raconte-t-on des histoires ?

Est-ce que ces récits qu’on se fait — souvent enjolivés, parfois illusoires — sont des fuites ou des ressources ?
Et si, pour ne pas s'effondrer, on avait besoin d’une narration… même un peu réaménagée ?
Une manière, au fond, de s’accommoder ?

Dans ce vingt-troisième épisode, Amélie Boukhobza explore le rôle vital de ces récits intérieurs.
Pas des mensonges. Pas de la faiblesse. Des points d’appui.

Une façon de continuer.
Parce que sans récit, il n’y a plus d’élan.
Et sans élan… il n’y a plus rien.

On ne raconte pas seulement pour faire joli.
On raconte pour que ça tienne. Que ça ait du sens.
Pour relier ce qu’on vit à une chronologie : un avant, un maintenant, un après.
Pouvoir se dire : je viens de là, j’ai traversé ça, je vais vers autre chose.

On s’invente un futur, on adoucit le présent, on réécrit un peu le passé.
Pas pour tricher. Pour survivre.

Parce que s’il n’y a plus de futur imaginable, plus de projection possible… tout se fige.
Et c’est là que la dépression peut s’installer.

  • Dans cet épisode, il est question :
    de fictions intérieures qui aident à tenir,

  • de la fonction protectrice du narcissisme,

  • de ces petites promesses qu’on se fait à soi-même,

  • et du pouvoir des récits pour reconstruire une continuité dans sa vie.

On ne tient pas sans un minimum de fiction.
Il faut bien, parfois, se dire qu’on est la plus belle du royaume, ou le héros sans reproche.
Juste pour rester debout.

Un épisode pour celles et ceux qui se racontent des histoires — et qui, peut-être, en ont besoin.

Bonne écoute!

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#22 - “ Est-ce qu’il y a des parents qui ont été capables de digérer totalement leur histoire pour la transmettre correctement à leurs enfants ? ”

Vous m’avez dit : « Est-ce qu’il y a des parents qui ont été capables de digérer totalement leur histoire pour la transmettre correctement à leurs enfants ? »

Et si on transmettait toujours, malgré nous, les échos de ce qu’on n’a pas résolu ?
Dans cet épisode, j’interroge ce qui se transmet… même sans le vouloir.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Qu’est-ce qu’on transmet à nos enfants, même sans le vouloir ?

Peut-on vraiment faire table rase de son histoire ?

Et si, malgré les thérapies, les bonnes intentions, les lectures… quelque chose se transmettait quand même — de génération en génération ?

Dans ce vingt-deuxième épisode, Amélie Boukhobza interroge ce qui se glisse dans la transmission sans qu’on le choisisse :

des blessures mal digérées, des automatismes hérités, des émotions non élucidées.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle explore cette idée simple mais troublante :

on ne transmet pas seulement ce qu’on dit. On transmet aussi ce qu’on tait, ce qu’on nie, ce qu’on enfouit.

Ce dont on a hérité — et qui continue à vivre en nous.

Même quand on croit avoir compris. Même quand on pense avoir fait autrement.


Parce qu’on élève souvent nos enfants avec des intentions neuves… mais des réflexes anciens.

Et parfois, sans le savoir, on parle à travers eux à nos propres parents — ou à l’enfant qu’on a été.


Un épisode pour celles et ceux qui ont déjà beaucoup travaillé sur eux —

et qui s’interrogent malgré tout : qu’est-ce que je transmets… sans m’en rendre compte ?

Bonne écoute!

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#21 - “ Est-ce qu’une famille où il y a un suicide… c’est une famille pas normale ? ”

Vous m’avez dit : « Est-ce qu’une famille où il y a un suicide… c’est une famille pas normale ? »

Et si un suicide ne disait rien d'autre... qu'une douleur trop grande?

Dans cet épisode, j'interroge cette question que beaucoup se posent en silence: Qu'est-ce qu'on a raté, et pourquoi nous?

Et vous ? Vous l’êtes-vous déjà demandé ?

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Y a-t-il des familles plus normales que d’autres ?
Et quand un suicide survient, qu’est-ce que ça vient dire de la famille ? De l’amour donné ? Des liens ? De l’histoire ?

Dans ce vingt-et-unième épisode, Amélie Boukhobza explore cette question douloureuse, souvent murmurée : Qu’est-ce qu’on a mal fait ?

Elle rappelle que le suicide n’est jamais un choix clair et posé.
C’est un moment de bascule. De déraillement.
Un engloutissement intérieur.
Pas seulement une volonté de mourir, mais une impossibilité de vivre.

Ce n’est pas la faute d’une famille.
Ce n’est pas un échec parental.
C’est une souffrance qui déborde, souvent multifactorielle, et qu’on ne peut pas toujours empêcher — même en aimant fort.

Dans cet épisode, il est question :
– de la culpabilité silencieuse,
– de la pression sociale à “avoir l’air normal”,
– de ce qu’on transmet parfois sans le vouloir,
– et surtout, de ce qu’on peut tenter de reconstruire après.

Un épisode pour celles et ceux qui ont vécu cette perte.
Et qui, pour continuer à vivre, ont cessé de chercher un coupable.

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#20 - “ Est-ce que c’est parce qu’on est conscient des choses… qu’on y consent ? ”

Vous m’avez dit : « Est-ce que c’est parce qu’on est conscient des choses… qu’on y consent ? »

Et si être conscient ne voulait pas forcément dire être d’accord ?

Dans cet épisode, j’interroge cette tension entre ce qu’on sait… et ce qu’on fait malgré tout.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?


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Conscience et action vont-elles toujours de pair ?

Peut-on être lucide… et pourtant rester coincé dans les mêmes schémas ?

Pourquoi refait-on parfois exactement ce qu’on s’était juré d’éviter — en pleine conscience ?

Dans ce vingtième épisode, Amélie Boukhobza explore ce paradoxe profondément humain : savoir… et faire quand même.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle interroge le décalage entre ce que l’on comprend — et ce que l’on continue pourtant à faire.

On croit souvent que la conscience suffit à changer.

Mais entre la prise de conscience et le passage à l’acte, il y a un espace.

Un espace de lenteur. De contradictions.

Et parfois, d’histoires anciennes, profondément ancrées.

Ce n’est pas une question de volonté, ni de faiblesse.

Parfois, on fait ce qu’on peut. On compose. On répète. Jusqu’au jour où, sans savoir exactement pourquoi… on fait autrement.

Un épisode pour celles et ceux qui comprennent très bien ce qui ne va pas… mais qui, pourtant, refont encore une petite dernière fois — juste pour être sûr.

Bonne écoute !

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#19 - “ Tant qu’on garde la posture de l’adulte qui contrôle ce qui se passe en soi face au thérapeute, il ne peut rien se passer. ”

Vous m’avez dit : « Tant qu’on garde la posture de l’adulte qui contrôle ce qui se passe en soi face au thérapeute, il ne peut rien se passer. »

Dans cet épisode, j’interroge ce point de bascule.


Celui entre maîtriser… et lâcher.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Pourquoi, même quand on demande de l’aide, on garde parfois les armes ?
Pourquoi, même en thérapie, on continue à contrôler ?

Dans ce dix-neuvième épisode, Amélie Boukhobza interroge cette posture d’adulte “raisonnable” que l’on conserve… même face à soi-même.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle explore ce moment de glissement : celui où l’on cesse de tout comprendre pour enfin laisser émerger ce qui déborde.

Ce n’est pas par la logique qu’on avance en thérapie.
C’est quand quelque chose craque. Vacille. Surgit.
Quand on accepte d’être un peu plus vulnérable. Un peu plus atteignable.

Il est ici question de cadre, de confiance, de cette part “enfantine” qui permet de créer, de sentir, de vivre… même avec le poids sur le dos.

Un épisode pour celles et ceux qui sentent que “tout comprendre” ne suffit pas.
Et qui veulent, peut-être, avancer autrement.

Bonne écoute !

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#18 - “ Est-ce qu’il faut vraiment pardonner ? Est-ce que pardonner, c’est “maintenant je me la ferme, t’as gagné ?” Si je pardonne, j’ai plus le droit d’en parler ? ”

Vous m’avez dit : « Est-ce qu’il faut vraiment pardonner ? Est-ce que pardonner, c’est “maintenant je me la ferme, t’as gagné” ? Si je pardonne, j’ai plus le droit d’en parler ? »

Dans cet épisode, j’interroge ce que pardonner veut dire.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Pardonner, est-ce forcément oublier ?

Est-ce renoncer à dire ce que ça nous a fait ?

Un acte de paix…? ou une manière de se taire pour ne plus déranger ?

Dans ce dix-huitième épisode, Amélie Boukhobza explore ce que signifie vraiment le pardon.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle interroge le malentendu autour de cet acte qu’on croit simple, mais qui engage bien plus qu’un mot.

Le pardon, ce n’est pas un effacement. Ce n’est pas une injonction morale.

C’est un choix. Une décision intime.

Et parfois, c’est trop tôt.

D’autres fois, ce n’est pas possible. Et c’est ok.

Un épisode pour celles et ceux qui portent encore une colère, un chagrin, une parole non dite…

Et qui veulent comprendre ce que “pardonner” veut dire — ou ne veut pas dire.

Bonne écoute !

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#17 - “ J’adore mon enfance. J’ai trop envie de redevenir un bébé. On ne peut pas recommencer la vie, c’est trop tard.  ”

Vous m’avez dit : « J’adore mon enfance. J’ai trop envie de redevenir un bébé. On ne peut pas recommencer la vie, c’est trop tard. »

Et si grandir, c’était aussi apprendre à vivre avec ce qu’on ne peut plus réparer ?
Dans cet épisode, j’interroge ce désir de retour en arrière… 
Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Qui n’a jamais rêvé de tout recommencer ?
De revenir à l’enfance. À l’insouciance.
Avant les choix. Avant les blessures. Avant les regrets.

Dans ce dix-septième épisode, Amélie Boukhobza interroge ce désir de retour en arrière — ce moment où l’on prend conscience qu’on ne pourra plus refaire, ni réparer.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle explore ce mélange de tendresse et de tristesse face à ce qui ne reviendra pas.

L’enfance peut devenir un refuge imaginaire, un point fixe.
Mais grandir, c’est parfois accepter l’irréversible.
Et réussir à construire, même à partir de ce qu’on aurait aimé réécrire.

Un épisode pour celles et ceux qui sentent encore en eux l’enfant qu’ils ont été.
Et qui s’interrogent sur ce que ça change… de ne plus pouvoir recommencer.

Bonne écoute !

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#16 - “ Est-ce que la façon dont je me vois, c’est comme ça que les gens me voient ? ”

Vous m’avez dit : « Est-ce que la façon dont je me vois, c’est comme ça que les gens me voient ? »

Dans cet épisode, j’interroge ce décalage entre ce qu’on pense être… et ce que les autres perçoivent.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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Peut-on vraiment savoir comment les autres nous perçoivent ?
Et surtout… est-ce que ça correspond à ce que nous croyons être ?

Dans ce seizième épisode, Amélie Boukhobza interroge ce décalage entre l’image de soi et le regard des autres.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle explore cette zone floue entre perception intime et miroir social.
Ce flou où l’on doute. Où l’on se demande si l’on est vu… ou projeté.

Il y a ce qu’on pense montrer.
Et puis, il y a ce que les autres reçoivent.
Entre les deux, parfois, un écart. Parfois, un gouffre.

Un épisode pour celles et ceux qui se débattent avec leur image.
Et qui s’interrogent sur ce qui, dans leur regard sur eux-mêmes, vient vraiment d’eux.

Bonne écoute !

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#15 - “ Le fait qu’on puisse dégrader ma mère, c’est comme si on me dégradait moi. ”

Vous m’avez dit : « Le fait qu’on puisse dégrader ma mère, c’est comme si on me dégradait moi. » 

Et si critiquer sa mère, c’était aussi toucher à sa propre image ? 

Dans cet épisode, j’interroge ce lien d’identification si particulier..

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Peut-on vraiment entendre des critiques sur sa mère… sans se sentir visée soi-même ?

Dans ce quinzième épisode, Amélie Boukhobza explore ce lien complexe entre une fille et sa mère — celui où la critique de l’autre devient une atteinte à soi.

À partir d’une phrase entendue en séance, elle interroge ce phénomène d’identification profonde : quand la mère est tellement intériorisée qu’elle devient un morceau de soi.

Dans certaines familles, toucher à la mère, c’est remettre en cause une loyauté silencieuse. Une image de soi. Une origine.
Et parfois, il est plus facile de supporter ses propres blessures que d’entendre dire du mal de celle dont on vient.

Un épisode pour celles et ceux qui se sont déjà sentis déstabilisé(e)s face à une critique maternelle, et qui cherchent à comprendre ce qui se joue derrière cette réaction.

Bonne écoute !

🎙️ Un podcast écrit et présenté par Amélie Boukhobza, psychologue clinicienne et docteur en psychologie.

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#14 - “ Ça m’arrange de croire en Dieu. ”

Vous m’avez dit : «Ça m’arrange de croire en Dieu.»

Et si croire n’était pas toujours une affaire de foi… ?

Dans cet épisode, j’interroge ce besoin de croire, même sans certitude.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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#13 - “ Il m’a mis une main aux fesses en passant. Ça m’a déstabilisée, mais ça m’a plu. ”

Vous m’avez dit : « Il m’a mis une main aux fesses en passant. Ça m’a déstabilisée, mais ça m’a plu. »

Et si le corps ressentait parfois des choses… que la tête ne comprend pas tout de suite ?

Dans cet épisode, j’interroge ce trouble entre gêne et désir, entre malaise et plaisir.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#12 - “ Sans nous, le temps avance quand même. J’ai pris conscience de la mort vers 6 ans. On n’a pas conscience de ce truc… qu’on ne peut plus rien faire. ”

Vous m’avez dit : « Sans nous, le temps avance quand même. J’ai pris conscience de la mort vers 6 ans. On n’a pas conscience de ce truc… qu’on ne peut plus rien faire. »

Et si la conscience de la mort naissait… dès l’enfance ?

Dans cet épisode, j’interroge ce moment où l’on comprend que tout continue sans nous.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#11 - “ Ce n’est pas mon ovocyte, mais à l’intérieur de moi je vais lui donner ce dont il a besoin. ”

Vous m’avez dit : « Ce n’est pas mon ovocyte, mais à l’intérieur de moi je vais lui donner ce dont il a besoin. »

Et si être mère n’était pas (seulement) une question de biologie ?

Dans cet épisode, j’interroge ce doute intime qui surgit parfois quand le lien génétique n’est pas là.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#10 - “ J’ai tellement envie qu’il m’apprécie pour qui je suis, que je fais tout ce qu’il veut. ”

Vous m’avez dit : « J’ai tellement envie qu’il m’apprécie pour qui je suis, que je fais tout ce qu’il veut. »

Peut-on être vraiment aimé… sans se trahir ?

Dans cet épisode, j’interroge ce besoin de plaire à tout prix, et comment on en vient parfois à s’oublier.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#9 - “ Si on se sépare, j’aurais l’impression de priver les enfants de leur père. Et je m’en veux. ”

Vous m’avez dit : « Si on se sépare, j’aurais l’impression de priver les enfants de leur père. Et je m’en veux. »

Dans cet épisode, j’interroge ce dilemme entre le bien-être des parents et celui des enfants, quand l’amour ne suffit plus à faire tenir le couple.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

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#8 - “ Je ne suis pas seul, mais je suis seul. ”

Vous m’avez dit : « Je ne suis pas seul, mais je suis seul. »

Et si la solitude n’était pas l’absence de compagnie… mais celle de lien ?

Dans cet épisode, j’interroge ce vide intérieur qui persiste même entouré, et ce qu’il révèle de nous.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#6 - “ Ne pas s’énerver devant les enfants, c’est une ligne rouge. Si on se permet ça, qu’est-ce qu’on se permet après ? ”

Vous m’avez dit : « Ne pas s’énerver devant les enfants, c’est une ligne rouge. Si on se permet ça, qu’est-ce qu’on se permet après ? »

Dans cet épisode, j’interroge cette exigence de contrôle que l’on s’impose parfois en tant que parent.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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#5 - “ Je l’aime autant qu’il me dégoûte. Il m’a fait les pires choses. Dit les pires choses, ça ne change rien. ”

Vous m’avez dit : « Je l’aime autant qu’il me dégoûte. Il m’a fait les pires choses. Dit les pires choses, ça ne change rien. Je m’en veux de ne pas avoir assez insisté pour lui dire non et de m’être laissée faire. »

Comment est-il possible d’échapper à l’emprise ?

Dans cet épisode, j’interroge ce déni qui nous fait oublier qui nous sommes.

Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ?

Bonne écoute !

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