Dans Les ruines du ciel, Christian Bobin écrit :
« La main de la mère relevant avec nonchalance une mèche de cheveux sur le front de son enfant lègue à celui-ci une douceur qu’une vie entière n’épuisera pas »…
Parce que tes mains sont caresses…
Parce que tes mots sont tendresse…
L’enfant, à son tour, fait tout intuitivement pour rendre à sa mère cet infini de douceur..
© @thomassappephotography